saosja a écrit:Bientôt le Cap Horn
euh doucement quand même, ça sera pour Janvier, faut déjà passer le Cap de Bonne Espérance, les îles Kerguelen, l'Océan Indien, l'Australie, la Nouvelle-Zélande et tout le Pacifique, y'a encore de la route.
saosja a écrit:Bientôt le Cap Horn
Encore une remarque inutile...The_Answer a écrit:Vous etes serieux a parler du vendee globe, on touche le fond la...
lequipe.fr a écrit:Le skipper a en effet percuté violemment un OFNI (objet flottant non identifié). Ce choc a fait se relever le safran tribord. En cherchant à le replacer, Dick a remarqué que la barre reliant les deux safrans était cassée et que le support de fixation du haut du safran au pont du bateau était endommagé. Pour l'instant, il navigue avec un seul Safran et ne pourra rien y changer avant la traversée de la tempête. Il ralentit actuellement et réfléchit à la meilleure solution.
«Je ne peux pas utiliser le safran sous le vent alors je vais essayer de passer la porte et puis me dégager pour essayer de réparer sur l'autre bord, dès que je peux. Je dois laisser passer la dépression comme ça. La réparation ne va pas être simple, la course est fichue mais je ne vais pas lâcher le morceau comme ça, il faut rester en course et c'est important de terminer quoiqu'il arrive. J'ai déjà dans ma tête le mode opératoire : ça va être collage avec du carbone, contreplaque, boulons, vis. Ça ne va pas être facile. Mais La précédente édition du Vendée Globe, j'avais réparé des choses qui me semblaient irréparables, alors pas question de jeter l'éponge !»
Sport365.fr a écrit:Fin du calvaire pour Eliès
Samedi, un peu avant midi, le navigateur briochin Yann Eliès (34 ans), coincé dans son bateau depuis deux jours avec une fracture du fémur gauche, a été
évacué et se trouve désormais à bord de la frégate HMAS Arunta de la marine australienne.
geolop a écrit:Eliès a du courage, je peux vous le dire. Rendez-vous compte, il était à l'avant de son bateau, à une allure assez importante, et d'un coup il se plante dans une vague. Il aurait très bien pu tomber du bateau et aors là il n'avait plus aucune chance de survivre. à ce que j'ai compris, sa jambe a violemment heurté le bateau et il est tombé, je crois. Pour allerté le PC Course il aura falu qu'il se glisse sur 16 mètres jusqu'à sa cabine, qu'il fasse toutes les manoeuvres pour arrêter complètement son bateau et qu'il contact le docteur. Que diable il a du en souffrir ! Enfin, un concurant est arrivé et un autre vient aussi Samenta Davys je crois.
Que de courage... Bravo à lui, ça ne doit pas être simple surtout quand on arrive pas à atteindre sa pharmatie trop haute et or d'atteinte...
sport365.fr a écrit:Jean-Pierre Dick est contraint à l'abandon suite à l'arrachage de son safran bâbord. L'avarie a eu lieu après que le skipper de Virbac-Paprec 2 soit rentré en collision avec un OFNI (objet flottant non identifié).
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