Laurent BANIDE

jefasmatic a écrit:Je pensais au début que Banide n'aurait pas les épaules pour reprendre Monaco, qu'il n'était pas l'homme de la situation pour nous sortir de la crise...
Mais depuis son arrivée, on sent les joueurs qui prennent du plaisir à jouer ensemble, à produire du beau jeu et ils semble tous heureux de Banide comme entraîneur
Bref maintenant je fais confiance à Banide qui a les capacité pour accomplir des grandes choses à Monaco

olivier.d a écrit:

jefasmatic a écrit:Je pensais au début que Banide n'aurait pas les épaules pour reprendre Monaco, qu'il n'était pas l'homme de la situation pour nous sortir de la crise...
Mais depuis son arrivée, on sent les joueurs qui prennent du plaisir à jouer ensemble, à produire du beau jeu et ils semble tous heureux de Banide comme entraîneur
Bref maintenant je fais confiance à Banide qui a les capacité pour accomplir des grandes choses à Monaco

Prudence....c'est super fragile, encore.... double victoire contre VA et OM et on en reparle....minimu 4 points...

asmfc13 a écrit:

olivier.d a écrit:

jefasmatic a écrit:Je pensais au début que Banide n'aurait pas les épaules pour reprendre Monaco, qu'il n'était pas l'homme de la situation pour nous sortir de la crise...
Mais depuis son arrivée, on sent les joueurs qui prennent du plaisir à jouer ensemble, à produire du beau jeu et ils semble tous heureux de Banide comme entraîneur
Bref maintenant je fais confiance à Banide qui a les capacité pour accomplir des grandes choses à Monaco

Prudence....c'est super fragile, encore.... double victoire contre VA et OM et on en reparle....minimu 4 points...

même trois points, moi je prend...

asmfoot.org a écrit:Interview
Banide : « Je sens une envie »

Dans une interview accordée au quotidien sportif L'Equipe, Laurent
Banide
revient sur ses débuts prometteurs à la tête de l'AS Monaco.

À quoi ressemblait le groupe monégasque lorsque vous l’avez pris en charge ?
« Il manquait de confiance. Ce n’était pas un groupe, il y avait des écarts au niveau de l’état d’esprit, pas d’osmose sur les objectifs. On sentait que
ce serait dur de mettre un projet en place. »

En avez-vous parlé à
Bölöni
lorsque vous étiez encore son adjoint ?
« Oui. On a toujours tout mis sur la table. Après, pour diverses raisons, ça n’a pas pris. Il y avait une instabilité. »

À tort ou à raison, il a été reproché une certaine rigidité à votre prédécesseur. Comment abordez vous, quant à vous, la question des relations avec les
joueurs ?
« J’essaie de dialoguer. La première semaine, j’ai vu quasiment tout le monde. Ma philosophie de vie et de vestiaire va vers l’envie, l’épanouissement,
le plaisir d’être ensemble. Un cadre de vie et de travail, strict, a été défini. Mais, à l’intérieur, j’aime que l’échange soit permanent, avec le staff
comme avec les joueurs. Je marche à la communication, à la confiance. »

Est-ce une manière de marquer le changement ?
« Pas du tout. Je suis comme je suis, c’est tout. J’avance avec les valeurs auxquelles je crois. »

Êtes-vous satisfait de l’évolution de l’équipe ?
« Plutôt oui.
Petit
à petit, les choses se mettent en place. On est mieux physiquement. Je sens une envie. Une ambiance est née mais le chemin est long. C’est loin d’être parfait.
»

À quel niveau ?
« L’implication est meilleure mais la marge reste importante. La circulation du ballon, par exemple, reste à affiner. »

Resterez-vous fidèle au 4-4-2 ?
« Avec des variantes possibles. J’ai beaucoup d’attaquants. On ne joue pas de la même manière avec
Gakpé
et
Menez
qu’avec
Koller
et
Di Vaio
ou
Vargas
et
Kallon.
Chacun doit s’adapter. »

Est-ce difficile pour vous, comme avant Lille (1-1), de dire à
Di Vaio
qu’il va rester à la maison ?
« Choisir, c’est la base du métier. Un entraîneur doit être impartial. Je ne vais quand même pas sortir celui qui marque le plus de buts ou celui qui fait
le plus de passes décisives. »

Espérez-vous des changements au mercato ?
« Je suis parti pour une mission jusqu’à la fin de la saison avec ce groupe. Je ne me pose pas d’autres questions. Maintenant, si un joueur trouve qu’il
n’a pas assez de temps de jeu et qu’il veut partir, c’est au club de voir. »

Combien de points espérez vous avoir obtenu d’ici la fin des matches aller (Monaco compte 13 points et il reste quatre matches) ?
« Avec vingt points, je ne serais pas fâché… »

Devenir entraîneur d’une équipe professionnelle, c’était votre rêve ?
« C’était mon but, en tout cas. J’ai eu une opportunité formidable, inattendue. »

Imaginez-vous un long bail à Monaco ou vous sentez-vous dans la peau d’un intérimaire ?
« Le contrat court jusqu’à la fin de la saison. Je m’y consacre à fond. Après… »

Vous dormez moins bien ?
« Franchement, oui. Je suis souvent en veille. Même avec les amis, en famille, j’ai souvent l’esprit ailleurs. Je pense au boulot tout le temps. Mais c’est
normal, non ? »

kallon02 a écrit:Apparament Laurent Banide aurait signé un nouveau contrat jusqu'en 2008..

football365.fr a écrit:Nommé en octobre, Laurent Banide est parvenu à redresser la situation du club princier. Ce fidèle serviteur de l’ASM est en train de réussir son pari. En tout cas, les résultats plaident pour lui.



« Banide, la roue de secours. » Comme tous les observateurs, Football365 ne donnait pas beaucoup de crédit à Laurent Banide en octobre dernier. La nomination de ce fidèle du club à la tête de Monaco laissait perplexe. Surtout qu’il ne bénéficiait à l’époque d’aucune expérience du haut niveau. Malgré ses états de services auprès des jeunes monégasques et deux postes d’adjoint aux côtés de Francesco Guidolin et Laszlo Bölöni, Laurent Banide ne semblait pas tailler pour le poste que les dirigeants monégasques lui avaient offert. Pourtant, plus de deux mois plus tard, le « choix par défaut » a redressé la barre du club princier. Depuis son intronisation, l’ASM n’a perdu que deux fois en championnat et est passée de la vingtième à la quinzième place.

A son arrivée, Monaco traînait à une pénible dernière place et le vestiaire semblait ne plus supporter les méthodes de Laszlo Bölöni, à l’image de Yaya Touré qui n’avait pas hésité à évoquer des problèmes de racisme de la part de l’entraîneur roumain. « La situation est difficile et la passe est pénible, déclarait le natif d’Alès le jour de sa nomination. On est tous dans un état troublé quand on perd des matchs. Mais il faut que l'on réagisse tous pour que Monaco retrouve sa splendeur. Les joueurs étaient un peu surpris, voire désabusés. C'est vrai que c'est un peu lourd à porter. Mais je ne me sentais pas de refuser. » Depuis, Gaël Givet et ses coéquipiers semblent avoir retrouvé le sourire. Et la réussite. Comme peuvent en témoigner les victoires contre Valenciennes, Sochaux, à Troyes ou encore le match nul acquis à Lyon (0-0) lors de la dernière journée de l’année.

Aujourd’hui, Laurent Banide peut donc tirer un premier bilan de son expérience à la tête d’un club qu’il fréquente depuis treize ans. « Il y a deux mois, nous nous étions fixés de prendre vingt points d'ici la trêve, déclarait-il après le nul acquis sur la pelouse du champion de France. C'est important de sortir de la zone rouge. Ce point nous fait du bien moralement face à l'une des meilleures équipes européennes. Je suis satisfait d'atteindre la trêve avec plus de confiance dans le jeu et un groupe qui se construit. Ce point va nous permettre de passer des vacances plus agréables et nous allons nous remettre en questions rapidement. » Avec vingt points au compteur, Monaco a parfaitement répondu aux attentes de son entraîneur. Mais Laurent Banide sait que la route est encore longue.

geolop a écrit:J'arrive pas à savoir comment on pose les question...; quelqu'un sait ?